
"Liberté, égalité, lecture", un épisode enregistré au festival du livre jeunesse d'angoulême ( Bien-être ensemble )
Une lecture amusante est aussi utile à la santé que l’exercice du corps ». Emmanuel Kant.
77% des jeunes aiment lire selon une étude de l’IPSOS réalisée en 2016 et, à l’entrée au collège, même s’ils lisent pour les études plus que pour le plaisir, ils admettent qu’ils y trouvent la possibilité de s’évader et de rêver.
Quelle est la place de la lecture dans le quotidien des plus jeunes ?
Que lisent-ils, pourquoi et comment ?
Quel est leur rapport aux livres et à leurs auteurs ?
La lecture et l’écriture rendent-ils les jeunes et les moins jeunes heureux ?
Pour répondre à ces questions, je suis allée au festival du livre jeunesse d’Angoulême du 29 au 31 mars derniers. J’y ai rencontré des auteurs et illustrateurs d’albums, de romans et de BD : David Sire (écrivain, musicien et chanteur), un professeur des écoles, Manu Causse (auteur du roman pour ados « Les fils de Georges ») et Mickael Thevenot (auteur de « Flow »), Christine Granet (responsable de l’action familiale de l’UDAF en charge de la coordination du dispositif « Lire et faire » dans le département de la Charente), Monique (une conteuse), Cédric Fortier (auteur et illustrateur de BD) et Davide Cali (auteur et illustrateur de livres jeunesse traduit dans plus de 15 pays).
Je les ai suivis dans les classes et à la remise du prix des collégiens, j’ai assisté à leurs dédicaces et ai eu le plaisir de les faire parler de leur métier, tout ça au milieu des enfants et adolescents qui avaient eux aussi beaucoup de choses à dire.
77% des jeunes aiment lire selon une étude de l’IPSOS réalisée en 2016 et, à l’entrée au collège, même s’ils lisent pour les études plus que pour le plaisir, ils admettent qu’ils y trouvent la possibilité de s’évader et de rêver.
Quelle est la place de la lecture dans le quotidien des plus jeunes ?
Que lisent-ils, pourquoi et comment ?
Quel est leur rapport aux livres et à leurs auteurs ?
La lecture et l’écriture rendent-ils les jeunes et les moins jeunes heureux ?
Pour répondre à ces questions, je suis allée au festival du livre jeunesse d’Angoulême du 29 au 31 mars derniers. J’y ai rencontré des auteurs et illustrateurs d’albums, de romans et de BD : David Sire (écrivain, musicien et chanteur), un professeur des écoles, Manu Causse (auteur du roman pour ados « Les fils de Georges ») et Mickael Thevenot (auteur de « Flow »), Christine Granet (responsable de l’action familiale de l’UDAF en charge de la coordination du dispositif « Lire et faire » dans le département de la Charente), Monique (une conteuse), Cédric Fortier (auteur et illustrateur de BD) et Davide Cali (auteur et illustrateur de livres jeunesse traduit dans plus de 15 pays).
Je les ai suivis dans les classes et à la remise du prix des collégiens, j’ai assisté à leurs dédicaces et ai eu le plaisir de les faire parler de leur métier, tout ça au milieu des enfants et adolescents qui avaient eux aussi beaucoup de choses à dire.
""Liberté, égalité, lecture", un épisode enregistré au festival du livre jeunesse d'angoulême"
""Liberté, égalité, lecture", un épisode enregistré au festival du livre jeunesse d'angoulême"
Bien-être ensemble
Depuis que la société existe, les philosophes et Politiques réfléchissent au sujet de l'éducation tandis que les parents, face à la réalité, dansent un coup sur un pied, un coup sur l'autre, et déchantent souvent.
La famille, première société dans laquelle nous vivons, est aussi le lieu des premières éducations. Mais en soi-même, n’existe-t-il pas une société primordiale, où plusieurs rôles cohabitent ? Si l’éducation est garante de la liberté humaine, ne doit-on pas commencer par nous éduquer nous-mêmes ?
Dans notre magazine « Bien-être ensemble », nous évoquerons aussi bien l’éducation institutionnelle, que familiale et personnelle. Pendant une heure de direct, nous donnerons la parole aux théoriciens comme aux « pratiquants » de l’éducation, aux experts comme aux auditeurs, l’idée étant d’ouvrir notre table ronde à tous par la magie de la radio.
Parce que l’éducation est un éternel recommencement, entrez avec nous dans la danse…
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